Le conte du scarabé et du ver de terre

Publié le par Alberto Pérez Yanez

The Beatles

Comme vous le savez, « beatle » en anglais veux dire scarabeé en français...

Plusieurs internautes francophones m’on demandé de traduire en français ce conte du « Beatle » et du Ver de terre que voici …(Mes musiciens préfères, « The Beatles » n’ont rien à voir avec ce conte…) 

 

"Il y avait un ver de terre et un scarabée ils étaient très amis et ils passaient de longues heures à parler… blabla blabla.

Le coléoptère était conscient que son ami le ver de terre était très limité dans ça mobilité, Il avait une vue très restreinte et il était très passif en comparaison avec les scarabées.

Le ver de terre pour sa part, il était très conscient que son ami le scarabée il venait d’un autre milieu et que si on le comparait avec les vers de terre de son espèce, il mangeait des choses désagréables, il était énergique, nerveux, avait une allure grotesque et parlait très vite.

 

Un jour la compagne de vie du coléoptère lui a remis en question son amitié avec son ami le ver de terre et il lui demandait comment c’était possible qu’il fasse un si long chemin pour rencontrer un être si inférieur et tellement limité dans ces mouvements.

Elle lui reprochait pourquoi il continuait d’être ami avec quelqu’un qui ne répondait même pas aux aimables salutations qu’il lui envoyait de loin, mais le coléoptère savait que le ver de terre ne voyait pas bien et il ne voyait même pas qui le saluait et si au cas où il arrivait à le percevoir il ne pouvait pas distinguer si s’était le coléoptère ou quelqu’un d’autre. C’était la raison pour laquelle il ne répondait pas aux salutations.

Faisant preuve de patience le dendroctone à gardé le silence pour ne pas se disputer avec sa compagne.

Sous la pression des arguments de sa compagne qui mettait en question son amitié avec le ver de terre, le coléoptère a décidé de soumettre à l’épreuve l’amitié avec son ami en s’éloignant de lui pour voir s’il prendrait l’initiative de le chercher.

 

Le temps à passée et un jour la nouvelle arrive… le ver de terre était en train de mourir, car son organisme avait ressenti les efforts qu’il faisait chaque jour pour aller voir le coléoptère et comme il n’arrivait pas à faire cela pendant une journée, il retroussait chemin pour retourner chez lui.

Le coléoptère quant il a appris la mauvaise nouvelle il a décidé, sans poser la question à sa compagne, d’aller voir son ami.

En chemin il a croisé plusieurs insectes qu’ils lui ont raconté les infructueuses péripéties que le ver de terre subissait pour aller voir son ami le coléoptère et avoir de ses nouvelles. On lui a raconté comment il s’exposait aux dangers, jour après jour pour aller le trouver. Il devait passer sous les nids des oiseaux qu’ils l’attaquaient parce qu’ils voulaient le manger. On lui a raconté comment il a survécu à l’attaque des fourmis et d’autres insectes.

 

Alors le dendroctone il est arrivé chez son ami et l’a trouvé gisant par terre en attendant la proche fin de ses jours. Le ver de terre, mourant, s’est rempli de joie et s’est réjouit de le voir bien portant et en bonne santé. Il lui a sourit pour la dernière fois et s’est étain content de sentir son ami prés de lui et plein de vie.

 

Le scarabée a eu honte d’avoir permis que les opinions des autres nuise l’amitié avec son ami et il a regretté d’avoir perdu les heures qu’il aurait pu passer à parler avec le ver de terre mais surtout il se reprochait de l’avoir mis dans une tel situation qui l’a amenait à la mort.

A la fin il a compris que le verre de terre qui était tellement limité et différent à lui, il était son ami. Lequel il le respectait et aimait parce que même si il appartenait a une autre espèce il lui avait offert son amitié sans conditions.

 

Et c’est ainsi qu’il a appris plusieurs leçons ce jour là.

 

1)        L’amitié est en toi et pas chez les autres. Si on la cultive chez soi on va la retrouver chez les autres

2)        Les différences ne conditionnent pas les amitiés. Même pas les différentes races ni les limitations propres ou d’autrui.

3)        Le temps et la distance ne sont pas de facteurs qui doivent détruire une amitié. Ce qui le détruit se sont nos doutes et nos peurs.

4)        Quant tu perds un ami, une parti de toi part avec lui. Les phrases, les gestes, les craintes, les joies, les illusions, tout ce qu’on a partagé ensemble s’en va avec lui.

 

Le scarabée est mort peu après. Jamais on ne l’a entendu se plaindre de celui qui l’a mal conseillé, car c’était sa décision d’écouter les critiques sur son ami.

Si tu as un ami ne le remet pas en question, car si tu sèmes le doute tu récolterais les craintes.

Ne regarde pas trop comme il parle s’il est riche ou pas. Il faut considérer la richesse de celui qui est différent à toi surtout si il est disposé à partager avec toi ces idéaux et ces illusions.

 

Je ne sais pas si tu es le verre de terre et moi le coléoptère ou à l’inverse, mais on sait que nous sommes différents et nous avons des vies différentes.

Moi-même si je suis ver de terre je continuerais a te chercher jour après jour ; mais si j’étais le scarabée je n’écouterais pas les mauvaises critiques d’où elles viennent.

Si j’étais ver de terre je ne verrais pas en toi quelqu’un de grotesque.

 

Mère Thérèse a dit : « Je vais passer par cette vie une seule fois. N’importe quelle chose de bien que je puisse faire pour un être humain, je dois le faire maintenant, car je ne passerais pas une deuxième fois." (Anonyme ou Fernando Mosciaro)

Publié dans Universel

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